Partez du bon pied Forme physique et mal aigu des montagnes (MAM)

Les ascensions de très haute altitude mènent, comme leur nom indique, vers de très hauts sommets et demandent donc une bonne endurance. Les efforts intenses exercés sur le cœur, les muscles et les articulations supposent de disposer d’une bonne condition physique préalable et de savoir connaître ses propres capacités et limites. Ne cherchez pas à poursuivre un chrono et choisissez un rythme qui convient à l’ensemble de votre groupe.
Prendre en compte le possible mal aigu des montagnes (MAM)
Le corps a besoin de s’habituer à l’altitude, passé le seuil de 2 500 mètres. Une montée lente et une augmentation modérée de la hauteur à laquelle le randonneur séjourne et dort sont déterminantes à cet égard. C’est pourquoi il est toujours conseillé de dormir quelques mètres sous son niveau d’ascension journalier maximal. Prenez le temps de vous acclimater à l’altitude et pensez bien à vous hydrater régulièrement. Si des symptômes propres au mal aigu des montagnes se manifestent (nausées, maux de tête, vertiges), vous devez entamer une descente.