« Jusqu’à présent, ce sont encore des applications comme Alpenvereinaktiv ou Outdooractive qui répondent le mieux à la question de la présence générale de sentiers grâce auxquels monter jusqu’aux sites de décollage. Il est possible de basculer entre cartes OpenStreetMap et données officielles, et ainsi de vérifier assez facilement s’il existe des sentiers conduisant jusqu’au lieu de départ (ou quelle en est la probabilité). Si seule une carte l’indique, il y a une chance sur deux de retrouver un chemin tel que répertorié. En cas de doute : tester ! »
En dehors des heures d’ouverture, il convient de ne pas gravir les pistes – sauf si un itinéraire est explicitement indiqué pour les balades en raquettes ou les randonnées hivernales –, car celles-ci sont entretenues aussi bien le soir que le matin. Le danger vient alors non seulement des dameuses qui manquent parfois de voir les randonneurs, mais aussi et surtout, dans les terrains escarpés, des treuils auxquels elles sont attachées par un câble en acier.